Vendredi 18 août à 18H30

Eglise de Saint-Voy
Mazet Saint-Voy
Entrée: libre participation

Samedi 19 août à 20h
Eglise Saint-Pierre
Chalencon
Entrée: libre participation


Dimanche 10 septembre à 16H

Chapelle de Saint-Jean-le Fromental 

38359  Saint-Antoine-l'Abbaye 

Réservation conseillée : 06 16 29 14 27

Entrée : libre participation 



Ginga chante a cappella les répertoires du Brésil, d’Argentine, de Cuba et d’ailleurs, musiques sacrées et profanes, populaires et savantes, entre tradition et modernité.

Influences :

Eduardo Lopes - Astor Piazzolla - Chico Buarque - Caetano Veloso - Dorival Caymmi - Luiz Gonzaga - Marlos Nobre - Marlui Miranda - Tom Zé - César Alejandro Carrillo - Vicente Ribeiro - Marcos Leite...

Nourri de rythmes afro-brésiliens et d’harmonies plus contemporaines, GINGA se passionne depuis plus de 10 ans pour les musiques vocales d’Amérique du sud.

C’est au départ sous la baguette d’Eduardo Lopes, chef de chœur brésilien, que les oreilles s’ouvrent sur un répertoire peu connu : chants des indiens d’Amazonie adaptés par Marlui Miranda, chants de candomblé venus des rites afro-brésiliens, chants traditionnels du Nordeste : maracatu, forro…, et partitions de compositeurs contemporains comme Dorival Caymmi, Caetano Veloso...
Coté Argentine, GINGA aborde un répertoire urbain ou plus champêtre, allant des oeuvres d’Astor Piazzolla aux milongas d'Anibal Troilo.
La découverte du compositeur vénézuelien César Alejandro Carrillo et celle du chef de chœur cubain Regnier Silegas Ramirez amènent les chanteurs à développer leur intérêt pour la musique sacrée. Beau prétexte pour rencontrer Lucien Kandel, Dainouri Choque, Eric Trémolières, et affiner avec eux l’interprétation, le son du chœur… Autant d’éclairages indispensables à l’évolution du groupe qui continue de chanter de façon autonome.

De la chapelle au théâtre, de la grange au jardin, GINGA saisit toute occasion de faire résonner des lieux différents et parfois inattendus… GINGA s’installe chaque fin d’été « en résidence » dans une nouvelle région pour faire sonner ses chants et rencontrer de nouveaux publics.

Les étés de Ginga

  • août 2022 en Bretagne (Trémorel)
  • août 2021 en Lozère (Langogne)
  • août 2020 en Auvergne (Baudoux)
  • août 2019 en Lozère (Les Plantiers)
  • août 2018 dans les Hautes Alpes (Vaunières)
  • août 2017 en Saône-et-Loire (Saint Point)
  • août 2016 en Ardêche (Dusayes)
  • août 2015 en Dordogne (Coursac)
  • août 2014 en Ardêche (Vogüé)
  • août 2013 dans la Loire (Saint Julien Molin-Molette)
  • août 2012 en Auvergne (Baudoux)
  • août 2011 dans le Var (Mons)
  • août 2010 dans la Creuse (Mérinchal)
  • août 2009 en Chartreuse (Saint Pierre de Chartreuse)
  • août 2008 en Haute-Loire (Rosières).
  • août 2007 dans les Cévennes (Saint Martin de Londres)
  • août 2006 en Saône-et-Loire (Cluny)
  • août 2005 dans le massif de la Sainte Baume (Var)
  • août 2004 dans le Lot (Figeac)
  • août 2003 en Drôme provençale
Ginga c’est
un basse-passeur du pont de Macumba,
une alto-photographe salsera qui pleure son mari marin,
une brunette soprano qui se Maracatu,
une éleveuse d’ânes tromboniste,
un ancien chauffeur de taxi pianiste,
un vieux punk ex-moniteur de ski,
une reine de l’Amazonie ardéchoise,
un comédien représentant en Ayahuasca,
un physicien de la Fin del mundo,
un hospitalier hospitalier spécialiste en Lampiao,
une flûtiste piazzolifère de haut vol,